L’Union pour la nation congolaise (UNC) s’insurge contre la condamnation de son président, Vital Kamerhe, par la cour d’appel de Kinshasa/Gombe à 13 ans des travaux forcés.
Au cours d’une réunion tenue à son siège de Kinshasa mercredi 16 juin, l’UNC a annoncé une série de manifestations pacifiques sur toute l’étendue du territoire national pour dénoncer l’acharnement politique dont serait victime son leader.
Autre décision prise : la suspension de la participation des députés de l’UNC à toutes les réunions de Cap pour le changement (CACH) et de l’Union sacrée de la nation.
-Quelle lecture faire des décisions prises par l’UNC ?
-Pourraient-elles avoir des conséquences sur la plate-forme Union sacrée et les institutions auxquelles l’UNC participe ?
Invités
Alfred Maisha, député national élu de Bukavu et porte-parole de l’UNC en République démocratique du Congo
Professeur Jean Claude Tshilumbayi, député provincial et cadre de l’UDPS, parti membre de l’Union sacrée de la nation.
Professeur Alphonse Maindo, docteur en sciences politiques de l’Université de Sorbonne Paris 1 et enseignant à l’Université de Kisangani.